Le test de paternité est une analyse qui vise à établir des liens de parenté entre deux personnes. Cet examen se fonde essentiellement sur des prélèvements d’ADN effectués sur les deux sujets concernés. Après analyse de ces échantillons, on pourra confirmer ou infirmer que ces deux êtres sont apparentés. Le test de paternité concerne généralement un homme et son présumé fils. Mais dans quels cas faut-il recourir à cet examen ? Allons à la découverte des situations qui nécessitent un test de paternité.
Effectuer un test de paternité pendant la grossesse
Avant, le test de paternité ne s’appliquait que sur un père et son supposé enfant, ce qui veut dire qu’il fallait nécessairement attendre la naissance du bébé pour l’effectuer. Mais aujourd’hui, il est possible de le faire pendant la grossesse. Cela consiste à faire des prélèvements de l’ADN fœtal afin de le soumettre à des analyses.
Mais puisque cette opération présentait d’énormes risques, elle a été peu à peu abandonnée au profit du test de paternité qui s’effectue en prélevant l’ADN de l’enfant à travers le sang de sa maman. Cet échantillon peut être prélevé à partir des 8 aux 12 premières semaines de grossesse. Pour vous alléger de toute cette procédure, commandez votre kit pour test de paternité ici.
Effectuer un test de paternité en l’absence des deux sujets
Contrairement à ce que pensent beaucoup de personnes, faire un test de paternité ne nécessite pas forcément la présence des deux sujets. L’un d’eux peut présenter des problèmes de santé ou être réticent à ce genre d’examen. Dans ce cas, il est possible de faire le test de paternité en utilisant des échantillons prélevés à l’insu du participant.
Notez toutefois que cette procédure a fait naître de nombreuses controverses. Aux yeux de la loi, cette analyse est considérée comme illégale puisqu’elle viole la vie privée de la personne réticente. Un test de paternité peut également être réalisé après la mort d’un des sujets.