De nombreuse preuves cohérentes depuis le début des années 90, ont démontré que la consommation fréquente de noix est liée à un risque réduit de maladies chroniques majeures, y compris les troubles cardiaques et des vaisseaux sanguins et du diabète de type 2.
Les résultats les plus récents et les plus convaincants, signalés le mois dernier dans le New England Journal of Medicine, proviennent de l’étude Nurses ‘Health et la Health Professionals Follow-Up Study, qui, ensemble, ont suivi près de 119 000 hommes et femmes depuis des décennies. Les deux études ont enregistrés plusieurs fois ce que les participants ont mangé (parmi beaucoup d’autres caractéristiques) et analysé leurs régimes par rapport aux causes de décès chez les 27 429 personnes qui sont mortes depuis le début des études.
Le plus souvent, les participants, qui consommaient des noix, étaient moins susceptibles de mourir d’un cancer, de maladies cardiaques et de maladies respiratoires, et non parce que les mangeurs de noix succombaient à d’autres maladies. (Les noix en question étaient des pistaches, amandes, noix du Brésil, noix de cajou, noisettes, noix de macadamia, noix de pécan, noix de pin, arachides et noix.)
Ceux qui mangeaient des noix sept fois ou plus par semaine avaient 20 pour cent de moins de chances de mourir entre 1980-2010, même parmi ceux qui consommaient des noix moins d’une fois par semaine, le taux de mortalité était de 11 pour cent inférieur à celui de ceux qui n’en mangeaient jamais.